Entretien-Samuel Eto’o-Après la fin de sa carrière-Il parle de son nouveau défi : « Je suis amoureux de Guardiola… »

Entretien-Samuel Eto’o-Après la fin de sa carrière-Il parle de son nouveau défi : « Je suis amoureux de Guardiola… »

« La fin…vers un nouveau défi…Merci à vous tous », écrivait Samuel Eto’o le 7 Septembre dernier en soirée via son compte Instagram. Un message laconique qui refermait ainsi sa longue carrière de footballeur. Avec cette perspective qui n’a pas échappé. « Vers un nouveau défi »…Le nouveau défi de Samuel Eto’o, justement il l’a évoqué il y’a quelques mois au micro de Claude Leroy qu’il appelle affectueusement « papa ». Extrait de cet entretien où se dessine l’épine dorsale de ce que sera le prochain challenge de Samuel Eto’o. Le métier d’entraineur se profile en filigrane, et pour se faire, il a un modèle tout trouvé, Pep Guardiola : « Je suis amoureux de Guardiola », dit-il.

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Samuel Eto’o : « J’ai une très grande envie… »

« J’ai une très grande envie, papa, d’écrire une belle histoire en tant qu’entraîneur. J’ai eu la chance d’être entraîneur pendant plusieurs mois à Antalya. J’ai vu ce que c’est. J’ai vu ce que cela demandait. Mais je sais une chose, j’aime le football, j’aime le beau football. Je suis amoureux de Guardiola, l’entraîneur, pas l’homme parce que c’est quelqu’un qui impose ses idées à l’adversaire. C’est quelqu’un qui nous montre jour après jour que le football reste un spectacle. Je veux gagner, mais je ne veux pas commencer par l’Afrique….J’aimerais le faire en Europe…Tu sais papa, tu connais ton fils ( s’adressant à Claude Leroy). J’aime les challenges.

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Aujourd’hui, il n’y a pas d’entraîneurs Africains qui dirigent une grande équipe… je ne veux pas forcément une grande équipe…Ce sont les idées qui amènent les joueurs moyens à devenir meilleurs. Je veux juste avoir l’opportunité de pouvoir entraîner. Que ce soit en France, en Angleterre, en Italie, ou même en Espagne. Mais je veux avoir l’opportunité de prouver ce, dont je suis capable. Si je l’ai, cette opportunité, après il y’a le facteur chance, je me sens prêt à écrire une belle histoire en tant qu’entraîneur….Je pourrai ensuite rentrer en Afrique pour diriger une sélection ».

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