
Coupé décalé-Jean Jacques Kouamé-Sous l’effet de l’alcool-Voici sa phrase qui a fait fâcher Ariel Sheney
Invité surprise de « la fête de la solidarité » organisée par Molaré dans les locaux de sa structure, M Group, Jean Jacques Kouamé est arrivé dans un état second. Visiblement sous l’effet de l’alcool, dans une soirée retransmise en direct sur les réseaux sociaux, on voit Jean Jacques Kouamé précisément à 1H13 minutes du live encore sur la page Facebook de Molaré. Déambulant et saoul, il s’est littéralement accroché à un micro après une annonce des plus hypocrites de la part de Molaré, qui, se servant de ladite tribune voulait convaincre plus d’un que c’est le parfait amour entre lui et Jean Jacques Kouamé. Sous les airs de sa chanson « Suspense », Jean Jacques Kouamé a du mal à se faire une place sur scène. Ses premiers mots : « J’aimerais dire à tous ceux qui croyaient que Molaré et moi, sommes en conflit, qu’ils sont dans la confusion ». Après ces propos, il a tenu à rendre hommage à Dj Arafat. S’en suivront plusieurs messages saccadés dans une alchimie musicale mal maîtrisée.
Jean Jacques Kouamé : « Je n’ai pas aimé comportement de petit là »
A 1h24 minutes du direct, Molaré demande alors à Jean Jacques Kouamé d’annoncer Ariel Sheney. A la volée, Jjk lance : « Mon fils Ariel, viens avec nous. Viens fils. Tu es content de voir papa ou quoi…dis moi si tu es content de me voir ? ». Une insistance basilectalisante qu’Ariel Sheney va chercher à esquiver. A la suite de cet incident, Jean Jacques Kouamé rentre dans une autre litanie où il va dire : « Avant la gloire, Ariel, c’était mon fils. L’humilité précède la gloire. On a les milliards et puis on est là… ». Sous l’effet de l’alcool, tenant difficilement sur les pieds, Jean Jacques Kouamé va continuer sur sa lancée : « Ariel Sheney, c’est mon enfant qui est venu me voir un jour, il m’a dit papa, j’ai besoin de toi. Je lui ai dit mon fils, finis ton contrat avec Arafat et on verra. Et aujourd’hui il est devenu ce qu’il est. Mais il n’a pas plus d’argent que moi dans ce qu’il est… ». Pendant tout ce temps, Ariel Sheney essaie de trouver ses notes musicales. Il est saisi par Jean Jacques Kouamé, il essaie à nouveau de se soustraire. Maîtrisé par Molaré, avant de sortir de scène, JJK cherche à s’expliquer une dernière fois avec Ariel Sheney, prend le micro et dit : « Ceux qui parlent, ce n’est pas mon problème. Cela ne m’empêchera pas d’être milliardaire ». Et va crier à l’oreille de Molaré : « Je n’ai pas aimé comportement de petit là ».