Religion-Décès de sa femme-Le pasteur Makosso Camille s’interroge : « Qu’est-ce que Dieu me veut ? »

Religion-Décès de sa femme-Le pasteur Makosso Camille s’interroge : « Qu’est-ce que Dieu me veut ? »

« Je disais toujours à Dieu, dans mes prières, si tu veux, tu peux tout prendre. Tu peux même me mettre en prison. Mais ne touche jamais à ma femme. Et c’est là qu’il a touché. Je ne sais pas qu’est-ce que Dieu me veut ?. C’est tellement difficile de vivre ce que je vis… ». Tout un aveu d’impuissance. Des interrogations sans réponses. Depuis le décès de sa femme, le Pasteur Makosso Camille ne sait à quel saint se vouer. Il se pose même la question de savoir qu’est-ce que Dieu lui veut ?. Le choc est terrible. Recevant une délégation de pasteurs venue lui présenter leurs condoléances, il a tenu à exprimer ce ressenti. Alors que les débats vont train sur les réseaux sociaux et que l’on le traite de tous les péchés d’Israël, le serviteur de Dieu qui cumule près d’un million d’abonnés sur Facebook continue de faire son deuil et reçoit de nombreuses personnes qui passent le soutenir dans ce moment de recueillement.

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Décès de sa femme-Makosso Camille interroge Dieu

On s’en remet à Dieu lorsque sur terre, personne ne veut nous entendre, dit l’adage. Perdu, Makosso Camille interroge Dieu. Dans le deuil, il ne manque pas également de publier des messages en souvenir de celle qui partageait sa vie : « C’est dur, et c’est même très très dur, je suis seul et mortellement abattu. Ma reine, ma partenaire, mon amie n’est pas là. Tu n’es pas souvent dans les escaliers, je les reconnaissais facilement. Les gens viennent, je les vois et dès qu’ils partent, je me rends compte que je ne rêve pas, que tu es vraiment parti. C’est un coup mortel et très mortel pour moi. Mais pour les enfants, je n’ai pas le choix, je dois rester fort et digne pour toi. Je vivais pour toi, je surmontais tout pour toi. Tu étais ma motivation, mon courage. On me demande d’être fort, je ne sais comment, car quand la nuit arrive, je me rends compte que tu n’es pas là pour me donner mon « dêguê », et me dire, « mange mon « mirmignon » ».

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